La première urgence a été de disposer de nombreux masques assurant une bonne protection. La carence en masques "chirurgicaux" ou FFP2 au mois de mars et jusqu'au début du mois d'avril, a contraint de développer des masques faciles à produire et de qualité.
L'usage d'un ordinateur et d'une imprimante 3D permet de réaliser une coque dont la forme est bien adaptée. Le filtre est fait avec un coton démaquillant en disque type demak’up a changer toutes les quatre heures ce qui est offre une protection supérieure à un masque chirurgical porté plus de 4 h.